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Je façonne mon esprit

Quel est le rôle de la peur ?

Et si nos souffrances étaient une force ? Quelle est le rôle de la peur ? Reconnaître ses failles pour les sublimer. Ces limites que l’on s’impose sont celles que l’on s’imagine. On a tous des oscars pour les films que l’on se fait dans notre tête. Et si nous profitons de nos faiblesses, nos peurs pour nous sublimer et aller de l’avant. 

POURQUOI IDENTIFIER SES PEURS ? 

“Mon vécu est ma richesse ” 

POUR LES DÉSIGNER  

As-tu peur des araignées… As-tu peur des araignées dangereuses… ou de toutes les araignées ? Aïe, j’ai peur de toutes les araignées. Apparemment, nos peurs reposent sur aucune réalité : ce ne sont que des ombres ! Enfin, quand je vois une araignée, elle est bien réelle, ma P.E.U.R. J’ai choisi d’introduire cet article avec une peur visible de l’iceberg. Le truc, c’est qu’il va falloir aller identifier tes peurs plus profondes, la partie invisible de l’iceberg, celle qui vous limite ! Comme j’ai peur d’être seule, je n’ose pas exprimer mes sentiments, je me sens nulle… reconnaître qu’une peur est à l’œuvre.

Une bonne partie de plaisir ! 

Il faut bien pointer du doigt là où ça fait mal.  

POUR LES LIBÉRER PARDI ! 

Pour beaucoup d’entre nous, le mot “frein” offre une représentation négative. Certes, les synonymes du mot “frein” sont limite, entrave, barrière, obstacle et j’en passe. Je pense que tu as compris le message… Pourtant, j’associe assez facilement le mot “frein” à ma voiture. Les freins de ma voiture me procurent sécurité. Alors transposons, notre véhicule est notre corps, nos freins nous procurent la sûreté. Alors considérons les freins non pas comme des obstacles, mais au contraire, comme une chance, un point d’appui pour progresser. J’utilise le sommeil parce-que la nuit porte conseil. Lire aussi.

Bon quoi qu’il en soit identifié ses peurs ça permet de se dire : “ c’est avec ça que je vis ma vie, donc plus j’en prends conscience mieux j’avance.” 

QUELS TYPES DE BLOCAGES ? 

Rejeter la faute sur les autres, ce n’est plus de notre époque. Concrètement, c’est nous avec nous-même. On a bien voulu croire ce que l’on voulait entendre et ce qui ça nous arrangeait bien pour rester dans sa zone de confort. Finalement, on a peur de notre propre pouvoir. Si ça peut vous faire plaisir, ils existent les types de blocages suivants : 

BLOCAGES CULTURELS ! 

Sont liés à la culture, mes croyances, mon éducation… 

Ce que je pense que les gens pensent de moi est plus important pour moi que de réaliser mes rêves. Qui n’a pas oublié ses rêves, ses envies et même parfois soi-même pour répondre au beau schéma familial que l’on a tracé pour nous. Alors, c’est très sympa de leurs parts, on les remercie pour ça. Mais soyons lucide, nous sommes les seules responsables de notre vie. Nos torts nous appartiennent. Notre propre mental s’est joyeusement permis d’enfouir nos désirs. On s’autorise le pardon et on s’attele à retirer le programme “je fais ma vie en fonction de ce que je pense que mes parents attendent de moi”.  

BLOCAGES RELATIONNELS ! 

Sont liés à la communication, j’n’ose pas.

On m’a toujours dit que j’étais timide. Alors, j’en ai fait ma croyance. Et je dis bien “je” je ne remets la faute sur personne. Je suis responsable de ça, je me pardonne et j’avance. Je n’ose pas exprimer mes sentiments parce-que j’ai peur d’être abandonnée. Ok , je vais y travailler.  

BLOCAGES FACTUELS ! 

Sont liés à ce qui est.

Maintenant ! Toutes les bonnes excuses que l’on se donne. Je n’ai pas de tune, je n’ai pas les compétences, j’ai des enfants… on est bien d’accord, on a toujours de bonne excuse pour ne pas réaliser ses rêves. Vous êtes victime de votre mental, oui, mais derrière ça il y a un but. Lequel ? Celui d’être victime. Ce que vous avez demandé à votre insu. C’est-à-dire ne pas être vous, ne pas être le créateur et être juste un petit truc qui essaie. Alors, on remercie les pensées de tourner très vite dans notre tête. Et là, tu as changé, tu es le créateur. 

JE BOIS L’ANTIDOTE 

L’ELIXIR DE PEPITES 

Le simple fait de savoir que tu formes ta réalité peut te libérer de certains concepts limitants qui t’ont freiné par le passé. Tu peux alors examiner tes croyances et trouver les corrélations qui existent entre elles et ton expérience.  Comme tu as pu le constater, je prends conscience de mon propre dialogue interne.

Exemple : Je n’ai pas confiance en moi, OK ! ET ? Bien, bien c’est mon mental qui est à l’oeuvre, donc je peux en changer le processus.

LE SCINTILLEUR DE PEPITES 

Le meilleur remède c’est le pardon. Se pardonner à soi et aux autres.  Fais ton “Festen”, si tu n’as pas vu le film, Thomas Vinterberg, le héros profite d’un repas de famille pour dénoncer l’inceste paternel dont lui et sa sœur ont été victimes. Une bonne thérapie familiale ! Sans aller jusque-là tu peux faire ton propre “Festen” en imagination si tu ne te sens pas de le faire en vrai ! Le cerveau ne se rend pas compte de la différence et ça peut te soulager. Bah quoi on a su s’auto hypnotiser en croyant nos peurs alors testons l’inverse ! Fallait y penser ! Tu fondes ta vie sur tes peurs. Tu crois tes peurs ! Inversons la tendance. Lire aussi les mantras.

 LE RÉVÉLATEUR DE PEPITES 

Mon mental me dit « Avance COCO parce-que le passé, c’est le passé le ressasser n’aide pas à avancer ». J’ai aimé me lamenter sur mon sort. C’est tellement plus facile de se retrancher en mode « Calimero » ou de dire “non mais faut que j’aille faire une psychanalyse”, bla-bla-bla ce sont des bullshits. J’ai m’y en place la stratégie “j’préfère fouiller la merde plutôt que d’avancer”.  

Pour la métaphore, le lotus naît dans la boue ! 

Passez à l’action, ça ira beaucoup mieux ! 


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J’ÉCOUTE 

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